mercredi 7 juillet 2010

Quelques nouvelles (oui, encore !)

Alors voilà, ça fait un peu plus d'un mois que je n'ai rien écrit ici. Nous sommes en juillet, et je n'ai toujours aucune nouvelle de l'éditeur contacté il y a quatre mois. Autant dire que c'est "mort", mais le minimum de correction aurait été de me donner une réponse (un "non" simple et franc m'aurait fait de la peine, mais au moins, j'aurais su à quoi m'en tenir). Bref, je vais passer à autre chose, ce sera plus productif.

Quand je dis "autre chose", je m'entends. Je ne lâche pas le roman. D'ailleurs, je viens d'obtenir de ma directrice (mon autre boulot, vous savez, celui qui me fait vivre !) qu'elle accepte mon retour à 50% aux conditions que j'avais jusqu'en décembre 2009. Du coup, avec un peu d'organisation, je devrais avancer un peu plus vite dans mes projets à partir du mois de septembre 2010. 70% c'est bien, mais quand on a fait les courses, les lessives, le repassage, le rangement et les repas, il ne reste plus beaucoup de temps pour l'écriture. Ca devrait donc changer le premier septembre.

Côté écriture, j'ai tout plein d'idées pour le tome 2 du roman. Oui, parce que la construction du roman (le tome 1, donc), m'oblige à laisser un tas de questions en suspens. Et je n'aime pas quand les questions n'ont pas de réponse. Donc les réponses arriveront dans le tome 2, mais ce sera pour des jours où j'aurai plus de temps pour écrire. Ceci dit, en réfléchissant au tome 2, j'ai beaucoup de choses à ajouter au tome 1. On n'est pas sortis, quoi ! Je crois que l'envoi aux éditeurs n'est pas pour demain. Ceci dit, c'est plutôt bon signe, il me semble, parce que ça veut dire que l'envie d'écrire est là, et bien là. Et je découvre en ce moment que contrairement à ce que je pensais, tout cela n'est pas linéaire, loin de là. En fait, le processus d'écriture semble avoir besoin d'un temps de maturation, de "digestion", presque. Et ensuite seulement, ça peut "sortir" et être couché sur le papier. Ou l'ordinateur, tout dépend du moyen qu'on utilise pour cela.

Rassurez-vous donc, chers lecteurs de ce blog, peu nombreux mais fidèles je crois : je ne vous oublie pas. Me manque juste le temps.

Question subsidiaire : quelqu'un connaît-il la machine à arrêter le temps ? Ca me serait bien utile, en fait... Il ne faudrait pas une machine à rallonger les journées, non, sans quoi on manquerait vraiment de sommeil. Non, une machine à arrêter le temps me permettrait de pouvoir passer 3 ou 4 heures par jour sur le manuscrit et de dormir quand même 7 ou 8 heures par nuit... là, en fait, je ne peux tout simplement pas faire les deux... !

8 commentaires:

  1. Ah arrêter le temps... ça serait pratique...
    ... d'ailleurs si tu trouves le truc, je suis aussi preneuse...
    (Ou bien l'accélérer pour lire le tome 2 plus vite ;) )

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  2. T'as bien "inventé" la téléportation, arrêter le temps devrait être faisable, non? ;)

    Je confirme pour ton image de la "digestion" : c'est ptet pas très beau, mais le principe est bien là. Allez courage ma petite dame!!

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  3. Ben j'ai pas "inventé" la téléportation : je me suis servie de ce que d'autres ont imaginé avant moi. Ceci dit, figer le temps, ce serait un bon moyen de pouvoir faire ce que je voudrais faire avec le peu de temps dont je dispose...

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  4. La question serait : peut-on figer le temps pour soi et des amis? Parce que sinon, je sens le concept foireux où chacun essaye de figer le temps... et du coup, ça n'avance plus du tout comme tu veux, mais au gré des autres figeurs...

    Question purement méthaphysique de 9h du matin... je retourne me coucher!

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  5. Pis si tu figes trop tout le monde va vieillir sans toi...

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  6. Ben non justement : si je fige tout le monde pendant 4 heures pour pouvoir faire des corrections sur mon roman par exemple, le temps s'arrête pendant 4 heures, donc personne ne vieillit, même pas moi, mais j'ai 4 heures de plus pour faire ce qu'il faut que je fasse. Au pire, c'est moi qui vieillit plus vite parce que je me fatigue plus en bossant quatre heures de plus que les autres.

    Et Mili, bien sûr, il n'y aurait que moi qui aurait le pouvoir d'arrêter le temps. On n'est pas dictateur pour rien au Gobolistan.

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  7. Ha et donc si quand tu figes le temps, on te touches, y'a moyen de ne pas être figé pour profiter des 4h de plus? (Je me renseigne Chef, ça peut devenir intéressant)

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  8. Ce qu'il faudrait voir, c'est le rayon d'action : si ça se trouve, la machine à figer le temps a un rayon limité. Donc ce ne serait que les personnes proches qui verraient le temps s'arrêter. Ou plutôt, elles ne verraient rien, vu que le temps est figé pour elles. Du coup, se pose un autre problème : si dans la maison, le temps s'est arrêté, mais pas dans la maison d'en face, finalement, les enfants risquent d'arriver en retard à l'école.
    Faut revoir le système, donc. Ou élargir son champ d'action.

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